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Le Ari Zal ajoute que les Birkot Hanéhénin – les Brakhot de jouissance – sont l'une des bases de la Avoda (service) de l'homme. Car si l'homme remerciait le Saint béni soit-Il pour le Olam Haba (le Monde à venir), il remercierait pour une réalité lointaine.
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Date de disponibilité:
Auteur | Rav Shimon Baroukh |
Pages | 430 |
Taille | 245x176 |
Rai, 'Haim Vital rapporte ait nom de son maître le célèbre Arizal (le plus grand Mékoubal de tous les temps) que le moyen le plus sûr pour accéder au niveau de Roua'h Hakodech dépend de la Kavana (ferveur) de l'homme pendant ses bénédictions, ainsi que de son application à les réciter dans toits leurs détails. En effet, les aliments sont emplis de Klipot (certaines forces du mal), qui se collent à l'homme lorsqu'il les ingère ; mais s'il récite la bénédiction avec ferveur, il réussit à les extirper et purifie par cela la matière – ce qui lui permet d'être apte à recevoir la Kedoucha (Kaf Ha haim 202,1 au nom du Chaar Haroua'h Hakodech page 9b).
Le Ari Zal ajoute que les Birkot Hanéhénin – les Brakhot de jouissance – sont l'une des bases de la Avoda (service) de l'homme. Car si l'homme remerciait le Saint béni soit-Il pour le Olam Haba (le Monde à venir), il remercierait pour une réalité lointaine.
Par contre, remercier Hachem pour une chose qu'on appréhende clairement par nos sens, qui nous maintient en vie ou dont on jouit, c'est la base et la finalité de tout.
Mais justement du fait que les sens les perçoivent, on risquerait de ne plus y prêter attention. Cependant, si, malgré tout, l'hommes 'arrête et devient attentif à ces dizaines de jouissances quotidiennes – à chaque respiration, à chaque regard – et à tout ce qui est tangible, Il ressent ainsi en quelque sorte le Créateurde maniere sensible.